Le 29 juin 2021, l’ACOPAV a écrit à Wandrille Jumeaux et à Alex Laurent, collaborateurs du Sénat, afin qu’ils sollicitent les sénateurs avec lesquels ils travaillent pour poser une Question au gouvernement. Cette question porterait sur l’instauration systématique d’analyses toxicologiques en cas de suicides et actes violents contre les personnes (dont homicides et actes de barbarie) ainsi que sur la création d’une base de données anonymisées accessible au public reprenant ces informations.
La même demande, soutenue par le professeur québécois Joël Monzée, a été transmise à deux parlementaires, Sandrine Mörch et Gaël Le Bohec.
Notre but ? Établir de façon incontestable la fréquence de la présence de psychotropes – particulièrement les antidépresseurs ISRS – dans ces actes.
N’hésitez pas à écrire aux parlementaires qui vous représentent pour soutenir cette demande.
L’Acopav sollicite des parlementaires au sujet des dangers des psychotropes – sans aucune réponse à ce jour
